Mû par une nostalgie bien légitime en cette période, je m'étais mis en tête de retourner voir les photos du série Z, sises sur une page Picasa d'après mes souvenirs, encore fort vivaces.
Terreur, effroi et damnation, le lien en avait mystérieusement disparu de mes signets marque-pages favoris (en fait, pas si mystérieusement que ça, parce qu'en un an, on en voit passer des formatages, mais passons).
Nous en venons donc, chemin faisant, vers le but exact de ma cavalière prise de parole, trop longue pour être honnête.
Si un honorable membre de cette auguste assemblée pouvait avoir l'ineffable bonté de m'informer sur le devenir de ces daguerréotypes, cela me serait d'un inestimable secours.
M'excusant platement pour la gêne occasionnée, je vous prie d''accepter mes hommages du soir.