Posté: 27 Juin 2006, 23:32
La lecture des messages de ce topic me met mal à l'aise pour deux raisons.
La première, indépendante de l'Alchimie, est mon travail actuel avec celui des autres orgas d'un certain gn qui aura lieu en octobre. Ce travail, en ce qui concerne l'orga débutant que je suis, m'a fait beaucoup réfléchir à la nature même de la relation joueur/orga et surtout à la relation perso/orga et scénar/perso. Je comprends ce que veut dire Patrice, bien qu'il me paraisse évident qu'un bon gn ne se juge pas à l'aune de la qualité d'un affrontement entre les intrigues et les joueurs mais surtout à la qualité des interactions entres joueurs. Quoiqu'on en dise, il existera toujours un décalage énorme entre l'attente des orgas vis à vis des joueurs et vice-versa, ce qui se passe sur le terrain durant le gn devrait idéalement se situer entre les deux. La recette idéale ? J'attends que Whitechapel se soit passé pour mieux pouvoir en parler, qui n'a jamais organisé de gn ne devrait pas juger trop vite.
La deuxième raison, très subjective quant à mon personnage, c'est que j'ai passé un excellent gn sur tous les points. D'après ma vision très partielle de ce qui s'est passé, j'ai cru ressentir que chacun, comme l'a dit Thomas, avait des opportunités à saisir, des éléments de bg, de personnalité qui faisaient que chacun pouvait choisir sa place, ses objectifs avec tout loisir de se battre pour les atteindre. Quand on m'a dit que je jouais le chef de guerre Varel, après étude du contexte, je me suis attendu à être le barbare de service, défiant en duel n'importe qui à la moindre provocation, en réalité, après réception du rôle, j'ai compris que je pouvais le jouer d'une façon totalement différente sans trahir l'essence du personnage, ce que j'ai fait avec plaisir. Je regrette infiniment que des joueurs n'aient pas eu la même approche ou la même possibilité de par leur rôle et leurs contraintes.
La première, indépendante de l'Alchimie, est mon travail actuel avec celui des autres orgas d'un certain gn qui aura lieu en octobre. Ce travail, en ce qui concerne l'orga débutant que je suis, m'a fait beaucoup réfléchir à la nature même de la relation joueur/orga et surtout à la relation perso/orga et scénar/perso. Je comprends ce que veut dire Patrice, bien qu'il me paraisse évident qu'un bon gn ne se juge pas à l'aune de la qualité d'un affrontement entre les intrigues et les joueurs mais surtout à la qualité des interactions entres joueurs. Quoiqu'on en dise, il existera toujours un décalage énorme entre l'attente des orgas vis à vis des joueurs et vice-versa, ce qui se passe sur le terrain durant le gn devrait idéalement se situer entre les deux. La recette idéale ? J'attends que Whitechapel se soit passé pour mieux pouvoir en parler, qui n'a jamais organisé de gn ne devrait pas juger trop vite.
La deuxième raison, très subjective quant à mon personnage, c'est que j'ai passé un excellent gn sur tous les points. D'après ma vision très partielle de ce qui s'est passé, j'ai cru ressentir que chacun, comme l'a dit Thomas, avait des opportunités à saisir, des éléments de bg, de personnalité qui faisaient que chacun pouvait choisir sa place, ses objectifs avec tout loisir de se battre pour les atteindre. Quand on m'a dit que je jouais le chef de guerre Varel, après étude du contexte, je me suis attendu à être le barbare de service, défiant en duel n'importe qui à la moindre provocation, en réalité, après réception du rôle, j'ai compris que je pouvais le jouer d'une façon totalement différente sans trahir l'essence du personnage, ce que j'ai fait avec plaisir. Je regrette infiniment que des joueurs n'aient pas eu la même approche ou la même possibilité de par leur rôle et leurs contraintes.